A l’image du « Corridoscope » de Buren, où alternent des bandes noires et blanches, le montage exploite une succession régulière de plans très courts. 935 mètres de bande adopte un tempo saccadé qui suit à la lettre celui de la bande son,texte et musique de l’exposition.
Dans sa vidéo M. Benayoun réalise une osmose entre l’image qu’il propose et le travail de Buren. [L.D.]
source: Catalogue : «2e manifestation international de vidéo Montbéliard – France 13-18 mars 1984.»